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Il est parfois difficile de faire des recherches dans des vieux documents, car parfois l'écriture, la sorte de crayon et l'entreposage laissaient à désirer. Mais j'ai trouvé un très beau document sur un de nos ancêtres, qui date de 1707, et j'ai voulu le partager avec vous. Ce qui est formidable aussi, c'est que depuis près de 300, la terminologie et la façon d'écrire ce type de document n'a presque pas changé.
BIOGRAPHIES 4 2 7 de ce prêtre
PAUL VACHON
Ordonné en 1680.
Fils de Paul Vachon, notaire royal, Paul est baptisé à Québec, le 9
novembre 1656. Il entre au Petit Séminaire le 9 octobre 1668, l'un des huit
premiers élèves canadiens. Il passe au Grand Séminaire en 1677 et il est
ordonné prêtre le 21 décembre 1680. Préposé entre temps à la lingerie, en
1678. Il exerce le ministère au Cap-de-la-Madeleine (1681-82), à Batiscan, à
Sainte-Anne et Grondines (1683), au Cap-Saint-Ignace (1683- 85), à la Pointe à
la Caille (aujourd'hui Montmagny) en 1684, au Cap-de-la- Madeleine (1685-
1729). Il meurt au Cap, le 7 mars 1729, et il est enterré dans le sanctuaire de
l'église, qu'il avait fait bâtir en 1717.
Il fut l'un des premiers chanoines, en 1684, et agrégé au corps du
Séminaire. Il légua tous ses biens à l'église du Cap-de-la-Madeleine.
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Dans ma quête de retrouver mes ancêtres en France, j'ai communiquer avec la responsable de la communication des Archives De Charente-Maritime, et voici sa réponse:
Monsieur,
Par votre courriel du 6 janvier 2016, vous me demandez des renseignements sur les frères Vivien et Michel Rochereau.
Nous avons recherché dans notre base de données des engagés vers la Nouvelle France, mais nous n'avons pas trouvé mention de leur nom.
Nous également recherché dans la base en ligne sur internet fichier origine, il n'est pas mention.
Et enfin dans les dépouillements de registres paroissiaux des registres de baptêmes et de mariages de la paroisse de Lagord faits par le cercle généalogique de l'Aunis, pas de relevés de leur nom.
Je vous transmets juste leur biographie éditée dans le dictionnaire biographique des ancêtres québécois de M. Langlois.voir PJ
Nous n'aurons malheureusement pas d'autres informations conservées sur eux aux Archives départementales de la Charente-Maritime.
Cordialement,
Par votre courriel du 6 janvier 2016, vous me demandez des renseignements sur les frères Vivien et Michel Rochereau.
Nous avons recherché dans notre base de données des engagés vers la Nouvelle France, mais nous n'avons pas trouvé mention de leur nom.
Nous également recherché dans la base en ligne sur internet fichier origine, il n'est pas mention.
Et enfin dans les dépouillements de registres paroissiaux des registres de baptêmes et de mariages de la paroisse de Lagord faits par le cercle généalogique de l'Aunis, pas de relevés de leur nom.
Je vous transmets juste leur biographie éditée dans le dictionnaire biographique des ancêtres québécois de M. Langlois.voir PJ
Nous n'aurons malheureusement pas d'autres informations conservées sur eux aux Archives départementales de la Charente-Maritime.
Cordialement,
Claire MENARD
Responsable
de la Communication des Archives et de la Bibliothèque
Direction de
la Culture du Sport et de la Communication - service des Archives
départementales
claire.menard@charente-maritime.fr
05-46-45-17-77
|
Donc, je devrai poursuivre mes recherches dans une autre région.
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Pour les gens intéressés et qui passe dans le coin de Trois-Rivières, vous pouvez toujours visiter cette maison qui a appartenu à la famille Rocheleau et a été bâti vers les années 1740.
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Voici le plus vieux document, que j'ai trouvé, qui démontre que le nom Rochereau remonte au moins au 16è siècle
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Voici une histoire ancienne:
Le Père
Rochereau (environ 1608)
Façade de l’intérieur de l’hôtel de ville De La Rochelle
J'avais travaillé fort tard dans la nuit
: il s'agissait d'une recherche archéologique très-importante, et je n'avais
pas voulu quitter mes textes avant d'être arrivé à une solution que je sentais
venir. Je l'avais trouvée enfin ! Et je m'étais endormi dans ma gloire. Ce fut
elle aussi, je pense, qui me réveilla au moment où le soleil se levait. Au lieu
de rester au lit paresseusement à jouir de mon succès avant d'attaquer une
nouvelle difficulté, je me hâtai de chasser un reste de sommeil, en
me répétant à moi-même que c'était fini,
achevé, trouvé et que je n'avais rien laissé à faire aux gens qui auraient la
fantaisie de traiter la même question. Il faisait un temps superbe; je me
levai, je passai devant ma table de travail sans y jeter un regard : j'avais
assez d'archéologie pour le moment, et l'idée qui me possédait, c'était d'aller
dans mon jardin retourner une plate-bande. Je fus bientôt installé à ma besogne,
donnant de grands coups de pioche, égalisant à mesure la belle terre noire et
légère où je ne laissais pas un caillou, allant plus vite que deux
jardiniers, et pensant, avec une pitié
mêlée de mépris, aux pauvres gens qui ne connaissaient pas le bonheur de bêcher
une plate-bande à cinq heures du matin.
- Tout à coup, en relevant la tête,
j'aperçus de l'autre côté de la haie le père Rochereau qui me regardait. Le
père Rochereau a bien soixante-dix ans, à moins
Qu’il n'en ait quatre-vingts ou même
davantage; car voilà vingt ans que je le connais, et il n'a pas changé; et de fait,
il n'y a rien en lui qui puisse changer. Je défie ses cheveux de blanchir, son
dos de se voûter, ses joues de se creuser, son teint de se hâler et ses membres
de maigrir. Tout cela ne l'empêche pas de travailler sans cesse, d'aller au
bois et d'en revenir chargé d'un fagot qui fait dire aux petits enfants : « Le
père Rochereau ressemble au bon homme qui est dans la lune. » D'autres fois il décharge
du foin, ou il bat du blé, ou il fend du bois ; ce jour-, il labourait le
jardin de mon voisin, et il s'était arrêté pour me regarder avec le fin sourire
du paysan vendéen. - Bonjour, père Rochereau ! Lui criai-je. Qu'Est-ce que vous
avez donc à me regarder comme cela ? Est-ce que je ne m'y prends pas bien? –
Bonjour, Monsieur ! Vous vous y prenez très-bien, et vous feriez un fameux
jardinier, si seulement vous alliez un tantinet moins vite. De ce train-là,
vous seriez bientôt fatigué; et ce n'est pas tout que d'aller vite, il faut
pouvoir aller longtemps quand on veut travailler la terre du bon Dieu.
-- Bah! Quand j'en aurai assez, je m'en
irai, voilà tout ; vous trouverez bien une journée à me donner pour faire le
reste. Oh! Pour ça oui, Monsieur. Mais, s'il n'y a pas d'indiscrétion, pourquoi
donc que vous, un monsieur riche, qui pourrait rester chez vous à ne rien
faire, vous vous fatiguez à remuer la terre ? C'est bon pour les pauvres gens.
Moi, si je n'étais pas obligé de faire ça pour gagner ma vie, je ne toucherais
pas à un outil, bien sûr. Il me vint à l'esprit je ne sais combien de citations
de Virgile et d'autres qui ont célébré le bonheur de l'homme des champs; mais
je pensai avec raison qu'elles ne prouveraient rien du tout pour le père
Rochereau, et je m'abstins de lui en faire part. Je lui répondis simplement :
-- Je bêche pour me reposer. Il ouvrit
toute grande sa bouche de Vendéen, et elles
Ne sont pas petites,- et resta muet. Pour
vous reposer ! dit-il enfin. Vous voulez vous moquer de moi, Monsieur ! Tenez,
vous êtes déjà tout en sueur, et vous appelez ça vous reposer ! Je suis trop
vieux pour croire de pareilles choses, moi!
-C'est comme je vous le dis. J'ai
travaillé très-tard, cette nuit, à de. (je renfonçai au fond de mon gosier le
mot barbare d'archéologie), dans des livres très-difficiles à comprendre; j'en
avais la tête tout alourdie; voilà pourquoi je suis venu bêcher au grand air. Cela
fatigue les bras, je le veux bien; mais, vous me croirez si vous voulez, père
Rochereau, cela repose la tête. Le père Rochereau reprit sa bêche et ne me
répondit point. Il était trop poli pour me contredire, mais, évidemment, il
n'avait pas compris. Un instant après on l'appela : il planta son outil dans la
terre et s'en alla lentement en se balançant d'une jambe sur l'autre. - Je continuai
mon travail. Je crois bien qu'il avait raison et que je me dépêchais trop, car
au bout d'une demi-heure non-seulement j'étais en nage, mais le dos commençait
à me faire mal et j'avais des ampoules aux mains. Je tenais pourtant à finir ma
plate-bande; mais je jugeai nécessaire de m'accorder un repos de quelques
minutes. Au moment où je quittais ma pioche, j'entendis un gros soupir de l'autre
côté de la haie, et j'aperçus la mèche bleue d'un bonnet de laine à une hauteur
qui m'indiqua que le porteur du bonnet était assis sur un banc. Je me penchai
et je regardai. Le père Rochereau était là, tenant à la main un papier qu'il me
quittait pas des yeux. Il suait à grosses gouttes.
–Eh bien, père Rochereau, lui dis-je, il
paraît que vous êtes aussi fatigué que moi ?
– Faites excuse, Monsieur. Ce n'est pas
l'ouvrage, c'est ce maudit papier. Je connais bien mes lettres pour tant dans
un livre; mais dans l'écriture ça n'est plus pareil; et puis il faut épeler les
mots. Enfin, je ne peux pas m'en tirer. J'irais bien chercher ma petite-fille Jeannie
pour me lire ça, mais je connais d'où la lettre vient, et il ne faut peut-être
pas qu'elle la lise. Si vous vouliez, Monsieur...
Et il me tendait la lettre. –Très-volontiers,
père Rochereau : c'est mon affaire,
L’écriture. C'est très-bien écrit ;
écoutez.
« Monsieur et cher père Rochereau, » La
présente est pour vous faire savoir que je quitte le régiment la semaine
prochaine avec les galons de sergent-major; que mes chefs sont très-contents de
moi, si bien qu'ils m'ont recommandé au préfet de la Vendée pour une place de
gendarme, pour m'être instruit dans la lecture et les écritures depuis que je
suis au service, Si bien donc qu'on vient de recevoir réponse, et que je suis
nommé gendarme dans le canton de la Châtaigneraye : c'est ce qui me retarde
d'arriver au pays, parce que je veux y rentrer avec ma nouvelle tenue. A présent,
père Rochereau, si Jeannie se souvient encore de tous les seaux d'eau que j'ai
tirés pour elle et de tous les coups de pioche que j'ai donnés dans votre
jardin, et si vous voulez bien me la donner pour femme, je serai le gendarme le
plus heureux du département, et vous pourrez vous reposer sur vos vieux jours.
Répondez-moi bien vite, je vous en prie, et que je puisse signer ma prochaine
lettre :
» Votre petit-fils respectueux,
» Jacques BERTHOMÉ,
» Gendarme à la Châtaigneraye (Vendée).»
-
Le vieux Rochereau pleurait à chaudes
larmes. ..Le brave garçon! Un sergent major
! Un gendarme ! Penser encore à ma petite Jeannie, et me promettre du repos pour
mes vieux jours! Oh! Pour cela, il n'y a pas de risque que je leur sois à
charge, les pauvres enfants, tant que j'aurai un brin de force ! Je m'en vais
retourner tout de suite à la maison porter ça à Jeannie. Mais tenez, la voilà
qui vient m'apporter ma soupe. Jeannie ! Viens vite, ma fille! Lis cette lettre là
!
Et il la lui tendait d'une main
tremblante. Elle posa la soupière sur le banc, prit la lettre en rougissant, elle
reconnaissait l'écriture, et la lut tout bas, lentement, en
Levant de temps en temps les yeux au
ciel comme si elle priait Dieu. Quand elle a eu fini, elle s'agenouilla auprès
du vieillard, l'entoura de ses bras et baisa ses vieilles mains calleuses. Je
suis heureuse, grand-père, murmura-t-elle. Jacques sera un bon fils, et vous pourrez
vous reposer entre vos deux enfants.
Le père Rochereau hocha la tête, comme
quelqu'un qui a son idée et qui la garde mais il ne voulut pas contredire Jeannie.
Et puis, pour écouter son émotion, sans
Doute, il se retourna vers moi et me dit
d'un air gouailleur : Eh bien, Monsieur, vous êtes fatigué tout de même, hein? Si
vous voulez bien m'ouvrir la porte de votre jardin, je vais aller vous finir
votre plate-bande en remerciement de ce que vous m'avez lu la lettre. J'accepte,
père Rochereau. Mais, dites donc, il me semble que tout à l'heure, en épelant
cette bienheureuse lettre, vous étiez tout aussi fatigué que moi? Ah! Que
voulez-vous? Quand on sort de son métier !
Mais savez-vous ce que cela prouve,
Monsieur? C'est qu'il est bien heureux que dans le monde il y ait des gens qui lisent
et des gens qui bêchent : un seul homme ne peut pas tout faire, et en s'aidant
les uns aux autres, cela revient au même que si chacun savait tout. Bien dit,
père Rochereau ! Je vais vous ouvrir ma porte, et avant de finir la
plate-bande, vous et Jeannie vous me dicterez une réponse pour le gendarme : il
ne faut pas le faire attendre.
MÉMOIRES
D'EDWARD LORD HERBERT
DE
CHERBURY .
1598-1648.
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Louis Rocheleau a fait ériger ce
monument pour son épouse Charlotte.
Charlotte Alstead
(1869/1906) was 37 years old when she died. And that’s all I could find out
about her. But if you want to find Charlotte Rocheleau’s monument, it’s
not difficult to do. At 45 feet high, it is the tallest one in Lakewood
Cemetery. Now that’s putting a woman on a pedestal.
I didn’t have any trouble finding Charlotte Rocheleau on her pedestal,
but despite walking around last week with my self-guided tour brochure, I had a
hard time finding the Ueland plot. Eventually I did, with Clara Ueland’s marker
flush against the ground. They were not ostentatious people.
Hennepin
County
Minnesota, USA
Minnesota, USA
2è épouse
Laura Morin Rocheleau
The right to
explore and mine was sold to Louis Rouchleau, the lease being of July 11, 1892,
from F. W. Higgins, of Olean, to Louis Rouchleau, who sub-leased to the
Minnesota Iron Company. The company opened the mine in 1894, and “was the
second to adopt the ‘milling’ method” of open-pit mining, the process being to
strip off the overburden and mill the ore down through a winze into cars in the
mine, from which the ore was dumped into skips and hoisted. The first
superintendent was’ Capt. John Armstrong. By the end of 1898, 421,132 tons had
been shipped. Eventually the mine passed, with the consolidation, into the
control of the Oliver Iron Mining Company, but with the exception of a few
thousand tons in 1907, nothing was mined from the Norman from 1898 until 1908,
when the Oliver Company worked it “in connection with the Lone Jack, Ohio and
Oliver (Missabe Mountain).” The Norman was a very deep and narrow mine, and as
the open-pit mining proceeded furiously (as it did in 1908, 1909 and 1910, the
three years averaging a million tons a year), the mine developed the appearance
of a deep gully. The feeholders were concerned at the method of mining, and
brought suit to set aside the lease, alleging that the Oliver Company was
“wasting the ore, and hurting the mine.” A compromise was effected, much to the
financial advantage of the feeholders, it is believed. The lease was to expire
on-March 31, 1913, and just prior to that time a much richer ore bed was
discovered beneath the other. The total shipment to end of 1919 was 6,481,788.
tons.
Rouchleau-Ray
Mine.
The
Rouchleau-Ray mine is one of the great mining properties of the Mesabi. Not a
ton has yet been taken from it, but the proved deposit is 23,953,707 tons. F.
T. Higgins and Giles Gilbert were the feeholders, and mining right was granted
to Rouchleau, of Duluth, the Rouchleau-Ray Iron Land Company being formed. The
deposit was proved, to an extent, but no attempt was made to mine the deposit,
probably because of the money panic of 1893, and the flatulency of market in
1894 and 1895. On November 20, 1895, however, the Rouchleau-Ray Land Company,
together with feeholders, gave H. V. Winchell an option to purchase the nwine
for $1,125,000. For a ninety-day option $125,CC0 was paid, and it transpired
that the interested party was the Lake Superior Consolidated Iron mines, then
owned by John D. Rockefeller. “Just before the option expired, the company
asked for an extension of time, which was refused.” That meant the saving of a
few hundred thousand dollars to Rockefeller, for about a year later he
purchased the property for $750,000. The mine, of course, passed with the other
mining property of John D. Rockefeller, to the Steel Corporation in 1901.
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